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Salue pour moi le monde
 

Tristan & Isolde - Salue pour moi le monde - La presse

Une création de Joëlle Bouvier pour le Ballet du Grand Théâtre de Genève

Grand Prix de la critique 2015 - meilleur spectacle de la saison  

La presse en parle

« Intelligemment construit, le ballet a réduit les trois actes de l'opéra à une heure et demie de danse pure, livrant l'essentiel de ce drame musical et peut-être un peu plus, car au fond, la tourmente des corps plonge à merveille dans la matière wagnérienne de la musique. [...] La chorégraphe a su se couler dans ces ambiances pour en tirer du sens, laisser apparaître les complexes circonvolutions des mouvements, nous entraîner dans les vertiges de cette passion éternelle. »       

                                Agnès Izrine, Danser Canal Historique

 

 

« On ne peut qu’applaudir cette réécriture magistrale d’une légende musicale. »

L’athmosphère, sombre et dramatique comme cette histoire d’amour, est soulignée par des clairs obscures qui semblent sortis des peintures de l’école hollandaise du XVIIe siècle. Avec des éléments simples, des drapés, un escalier à double révolution, un fond noir et quelques planches comme accessoires, Joëlle Bouvier évite le superflu et l’inutile – souvent le recours de chorégraphes en mal d’idées. Ici, tout a sa raison d’être …Il faut aussi souligner combien la création de Joëlle Bouvier est admirablement servie par les excellents danseurs du Grand Théâtre de Genève- une des meilleures troupes d’Europe. »

                                                                                                                                                    François Delétraz, Le Figaro

 

« Avec Salue pour moi le monde, la chorégraphe Joëlle Bouvier, s’arrime à un scénario éternel : l’amour à mort…Tristan & Isolde pour la scène du poison, dans un très beau pas de deux relié par une corde blanche qui les suspend dans une tension retenue entre danse et cirque. Le lyrisme exacerbé de la gestuelle de Joëlle Bouvier, ses élans dans les bras, ses accents nerveux dans les chutes, prend au piège les sentiments conflictuels de la passion amoureuse, de la vie et de la mort…La vigueur de l’inspiration de la chorégraphe explose, intacte, dans ce ballet. »

                                                                                                                                                         Rosita Boisseau, Télérama

 

« Joëlle Bouvier réussit, en l'espace d'une heure et demie, à nous emmener dans le fantastique de ce drame presque aussi intensément que Wagner dans les quatre heures de son opéra. [...] En résulte un spectacle d'une grande qualité artistique et émotionnelle. Si les interprètes ne sont pas étrangers à la beauté de cette vision, l'intelligence de la chorégraphie les projette vers l'excellence. »

                                                                                                                                                     Jacques Schmitt, ResMusica

 

« …Souffle épique et grâce suspendue, la chorégraphe Joëlle Bouvier ensorcelle le Grand Théâtre de Genève, avec son adaptation des amours de Tristan et Isolde, sur des extraits de l’opéra de Wagner. La trame de l’opéra Tristan und Isolde est ici moins contée que suggérée, à travers des portés audacieux, de sublimes duos et des scènes de foule dans un décor réduit à l’essentiel – un escalier, quelques planches évoquant une forêt, des tissus presque vivants. La musique achève de conférer à l’ensemble la force et l’atemporalité du mythe. A l’issue du spectacle, même de féroces wagnériens baissent les armes, reconnaissant une œuvre à part. »

                                                                                                                                                     Marie Soyeux, La Croix

 

« [...] les danseurs du ballet se fondent dans des ensembles et même se muent en rivière humaine du plus bel effet. Ils existent malgré l'ampleur de la musique, même si l'affirmation de la danse sur des voix d'opéra n'a rien d'évident. Les mouvements de la chorégraphie sont suffisamment simples dans leur vigueur pour qu'un équilibre s'installe et que tout le monde vibre, danseurs et spectateurs, à l'unisson de cette belle initiation à la poésie wagnérienne. »

                                                                                                                      Benjamin Chaix, La Tribune de Genève

 

« La chorégraphe suit, même d'un point de vue musical, la structure narrative plutôt simple de l'opéra original. Tout se joue sur l'action intérieure, toute centrée sur la passion des deux personnages principaux... Joëlle Bouvier a le grand mérite d'avoir réussi à concevoir une chorégraphie qui devient un véhicule essentiel pour exalter toute cette passion. La musique de Wagner est déjà assez prégnante et puissante mais, malgré tout, la danse ne joue pas un rôle inférieur ; au contraire, les mouvements des corps des danseurs, avec tout leur physique, rendent plus véritable encore l'incarnation de l'Amour et de tous les sentiments.»

                                                                                                                       Antonella Poli, Chroniques de danse 

 

Tristan & Isolde - "Salue pour moi le monde !" - Trailer (Ballet du Grand Théâtre)

 

 

 

 
 

La Cie Joëlle Bouvier est aidée par le ministère de la culture et de la communication / direction régionale des affaires culturelles d'Ile-de-France, au titre de l'aide à la compagnie chorégraphique conventionnée. Elle est en résidence de création à la Scène Nationale Les Gémeaux, Sceaux. Licence d'entrepreneur de spectacles 758942/2.